Le moulin de la Gimond voit se succéder cinq générations au sein de cette famille de meuniers. Deux activités de production sont réalisées : la farine alimentaire et l’alimentation animale.
Bernadette et André Cizeron décident de se diversifier dans le bio pour s’accorder à des valeurs auxquelles ils adhèrent et répondre à une demande locale émergente.
L’outil de production flirte avec la saturation. Pour répondre à des clients toujours plus nombreux, les Cizeron décident d’investir.
La minoterie Cizeron collabore avec le groupe Euréa (Feurs, 42) et crée Cizeron Bio qui se spécialise dans l’alimentation animale biologique.
La demande ne cessant d’augmenter, l’unité de production déjà présente est agrandie pour répondre aux besoins des clients.
Après une ouverture sur le monde et quelques années d’études, c’est soucieux de l’environnement que Jean-Charles Cizeron rejoint l’entreprise familiale.
La capacité de production est amenée à près de 700 tonnes/mois.
Le développement de Cizeron Bio bat son plein grâce à l’augmentation des capacités de stockage et d’expédition associée à de nouveaux automatismes (plus de traçabilité).
« Toujours se rappeler d’où l’on vient, savoir où l’on veut aller et y croire profondément », tel est le credo qui anime l’équipe Cizeron depuis des années sous l’égide de son président fondateur, André Cizeron ; Il décède le 7 juin 2013. Depuis, Cizeron Bio, son équipe et ses dirigeants poursuivent dans la même voie et les mêmes valeurs partagées avec leurs clients et partenaires.
L’objectif de ce processus est de répondre de façon ciblée aux besoins des animaux en fonction de leur âge, de leur métabolisme et des spécificités du troupeau.
Un programme d’accompagnement de l’innovation dans les produits biologiques qui vient soutenir la stratégie protéine ancrée dans l’ADN de l’entreprise Cizeron Bio.
Cizeron Bio investit 1,5 million d’euros dans un nouvel outil de production, fruit de deux années de Recherche et Développement sur la valorisation de la protéine végétale. Cet équipement permet d’adapter les transformations de la matière protéine en fonction des exigences de l’animal et de l’éleveur, donc, de rationaliser les apports en fonction de l’animal et de ses besoins pour une optimisation de la valeur nutritionnelle des aliments.
Cette étape lui permet, aujourd’hui, de revendiquer le statut de leader du grand quart sud-est de la France.
Une reconnaissance décernée par un jury d’experts qui vient saluer l’innovation Cizeron Bio avec le développement de « noyaux protéiques pour les aliments des élevages biologiques ». Ce produit participe d’une solution globale de valorisation de la protéine et génère une dynamique économique en local avec la création d’une unité industrielle.
Cizeron Bio lance une nouvelle vague d’investissement avec le lancement d’un travail avec une nouvelle fosse de matières premières, une augmentation du stockage de matières premières, un doublement des boisseaux d’expédition.